Claudine Poirier, Pélicane

Portrait de membre

Claudine Poirier: La Pélicane de juillet

11 juillet 2016 0

Notre Pélicane du mois de juillet s’est lancée le défi de participer à son premier marathon en mai dernier. Claudine Poirier nous partage, pour notre plus grand bonheur, ce qu’a été la préparation et la participation à cette aventure.  Un récit inspirant où certains se reconnaîtront et d’autres auront envie de se lancer! Bravo Claudine!

Quand l’entraînement pour le marathon a-t-il débuté?

En novembre et décembre, je n’ai presque pas couru parce que j’avais mal à un pied, mais dès le 2 janvier, je me suis remise à la course pour vrai! Mi-janvier, je m’inscris au marathon d’Ottawa et mon programme commence en février. Pourtant, je discutais avec des amis à Noël et je trouvais impensable de courir 42,2 km!

Quelles ont été les modifications à apporter dans le mode de vie? (alimentation, sommeil, famille, travail, activités, etc.)

Alimentation : j’ai une alimentation plutôt équilibrée, mais j’ai souvent des rages de chips que j’ai dû apprendre à mieux gérer! Je me suis dit aussi que c’était le moment de participer au défi 28 jours sans alcool de la Fondation Jean Lapointe, et tout naturellement, ma consommation d’alcool a beaucoup diminué les mois suivants.

Sommeil : j’ai bien essayé de me coucher plus tôt, mais peine perdue!

Famille : je m’entraine généralement le matin en semaine tout de suite après être allée reconduire mes enfants à l’école, ce qui fait que l’entrainement n’a pas trop d’impact sur la famille. Même la longue sortie sur samedi passait inaperçue… ou presque! Je suis aussi allée quelques fois à la piste Etienne-Desmarteau en gang.

Travail : je suis étudiante à temps plein à la maitrise, mais mes cours étaient de soir, alors je n’avais pas vraiment de conflits d’horaire.

Qu’est-ce qui a été le plus difficile dans toute l’aventure?

D’apprendre que j’avais une fracture de stress au niveau du péroné à moins de 10 jours du marathon. Je ne pouvais pas croire que je n’allais pas courir le marathon pour lequel je m’étais entrainée tout l’hiver : un mélange de colère, de déception et de frustration.

Qu'as-tu trouvé le plus facile?

Facile dans le sens que j’avais beaucoup de plaisir à courir 5 jours par semaine, d’autant plus que j’avais des amies pour m’encourager et/ou pour faire les longues sorties. Sans parler de mon super coach Pélicans qui faisait un suivi ponctuel de toutes les sphères de mon entrainement. Merci, Éric!

De quoi es-tu le plus fière?

D’avoir été capable de suivre un programme et de m’adapter tout au long de l’entrainement, malgré les petits bobos, pour être maintenant une vraie marathonienne! haha!

 

Cynthia Léonard
Cynthia Léonard